Verlaine
La lune blance
Luit dans les bois
De chaque branche
Part une voix
Sous la ramee

O bien-aimee

L’etang reflete
Profond mirroir
La silhouette
Du saule noir
Ou le vent pleure

Revons, c’est l’heure,

Un vaste et tendre
Apaisement
Semble descendre
Du firmament
Que l’astre irise…

C’est l’heure exquise.